Jour 18
Le silence entrebâille sans grincer la dix-huitième porte du calendrier.
Ouvrez tout doucement la dix-septième porte sur la bénédiction.
J’ai trouvé le texte ci-dessous sur le site Vivre Autrement. C’est un texte de Pierre Pradervand qui a décidé de vivre autrement et propose des séminaires de développement personnel.
Le Simple Art de Bénir
Au réveil, bénissez votre journée, car elle déborde déjà d’une abondance de biens que vos bénédictions font apparaître. Car bénir signifie reconnaître le bien infini qui fait partie intégrante de la trame même de l’univers. Il n’attend qu’un signe de nous pour se manifester.
En croisant les gens dans la rue, dans le bus, sur votre lieu de travail, bénissez-les tous. La paix de votre bénédiction sera la compagne de leur chemin, et l’aura de son discret parfum une lumière sur leur route. Bénissez ceux que vous rencontrez dans leur santé, dans leur travail, leur joie, leur relation au divin, à eux-mêmes et aux autres. Bénissez-les dans leur abondance et dans leurs finances. Bénissez-les de toutes les façons concevables, car de telles bénédictions ne sèment pas seulement les semences de la guérison, mais, un jour, jailliront comme autant de fleurs de joie dans les espaces arides de votre propre vie.
En vous promenant, bénissez votre village ou votre cité, ceux qui la gouvernent et ses enseignants, ses infirmières et ses balayeurs, ses prêtres et ses prostituées. A l’instant même où quelqu’un exprime la moindre agressivité, colère ou manque de bonté à votre égard, répondez avec une bénédiction silencieuse. Bénissez-les totalement, sincèrement, joyeusement, car de telles bénédictions sont un bouclier qui vous protège de l’ignorance de leurs méfaits, et détourne la flèche qui vous est adressée.
Bénir signifie désirer et vouloir inconditionnellement, totalement et sans réserve aucune le bien illimité – pour les autres et les événements de la vie – en puisant aux sources les plus profondes et les plus intimes de votre être. Cela signifie révérer et considérer avec un émerveillement total ce qui est toujours un don du Créateur et cela quelles que soient les apparences. Celui qui est porté par votre bénédiction est mis à part, consacré, entier.
Bénir tout et tous, sans discrimination aucune, constitue la forme ultime du don, car ceux que vous bénissez ne sauront jamais d’où vient ce rayon de soleil qui soudain perça les nuages de leur ciel, et vous serez rarement témoins de cette lumière dans leur vie.
Quand, dans votre journée, quelque événement inattendu vous bouleverse vous autant que vos plans, éclatez en bénédictions, car la vie est en train de vous apprendre une leçon, même si sa coupe peut vous sembler amère. Car cet événement que vous pensez être si indésirable, vous l’avez en fait suscité, afin d’apprendre la leçon qui vous échapperait si vous hésitiez à le bénir. Les épreuves sont des bénédictions cachées, et des cohortes d’anges suivent leur traces.
Bénir signifie reconnaître une beauté omniprésente cachée aux yeux matériels. C’est activer la loi universelle de l’attraction qui, du fond de l’univers, amènera dans votre vie exactement ce dont vous avez besoin dans le moment présent pour grandir, progresser, et remplir la coupe de votre joie.
Quand vous passez devant une prison, bénissez ses habitants dans leur innocence et leur liberté, leur bonté, la pureté de leur essence et leur pardon inconditionnel. Car on ne peut qu’être prisonnier de l’image qu’on a de soi-même, et un homme libre peut marcher sans chaînes dans la cour d’une prison, tout comme les citoyens d’un pays libre peuvent être prisonniers quand la peur se tapit dans leur pensée.
Quand vous passez devant un hôpital, bénissez ses patients dans la plénitude de leur santé, car même dans leur souffrance et leur maladie, cette plénitude attend simplement d’être découverte. Et quand vous voyez une personne en pleurs ou apparemment brisée par la vie, bénissez-la dans sa vitalité et sa joie: car les sens ne présentent que l’inverse de la splendeur et de la perfection ultimes que seul l’œil intérieur peut percevoir.
Il est impossible de bénir et de juger en même temps. Alors maintenez en vous ce désir de bénir comme une incessante résonance intérieure et comme une perpétuelle prière silencieuse, car ainsi vous serez de ceux qui procurent la paix, et, un jour, vous découvrirez partout la face même de Dieu.
Pierre Pradervand
P.S. Et par dessus tout, n’oubliez-pas de bénir cette personne merveilleuse, totalement belle dans sa vraie nature, et si digne d’amour que VOUS êtes.
La bénédiction et la gratitude se rejoignent.
J’ai trouvé sur le blog de Nemo, l’importance de la bénédiction :
La bénédiction a le même pouvoir que la gratification, les mots, les émotions, les pensées, les cellules du corps sont des vibrations qui nous relient à l’énergie d’Amour inconditionnel qui interpénètre tout.
Dès qu’on évoque le mot bénir, on ne peut s’empêcher la plupart du temps d’y voir une connotation d’ordre religieux…
Mais le mot Bénir a une signification tout autre. Tout d’abord, le verbe Bénir signifie « dire du bien, vouloir le bien, voir le bien, penser le bien ou souhaiter le bien.C’est envelopper de lumière une situation ou un individu. Il n’a donc pas l’unique connotation spirituelle connue. Quant au verbe Harmoniser, il veut simplement dire« rendre harmonieux ».
Pourtant, bénir signifie désirer et vouloir inconditionnellement, totalement et sans réserve aucune le bien illimité pour les autres et les évènements de la vie en puisant aux sources les plus profondes et les plus intimes de votre être. Cela signifie révérer et considérer avec un émerveillement total ce qui est toujours un don du Créateur et cela, quelles que soient les apparences. Celui qui est porté par votre bénédiction est mis à part, consacré, entier.
Bénir signifie invoquer la protection divine sur quelqu’un ou quelque chose, penser avec une reconnaissance profonde à elle, l’évoquer avec gratitude. Cela signifie encore appeler le bonheur sur quelqu’un encore que nous ne soyons jamais la source de la bénédiction, mais simplement le témoin joyeux de l’abondance de la vie.
Bénir tout et tous, sans discrimination aucune, constitue la forme ultime du don, car ceux que vous bénissez ne sauront jamais d’où vient ce rayon de soleil qui soudain perça les nuages de leur ciel, et vous serez rarement témoins de cette lumière dans leur vie.
Bénir signifie reconnaître une beauté omniprésente cachée aux yeux matériels. C’est activer la loi universelle de l’attraction qui, du fond de l’univers, amènera dans votre vie exactement ce dont vous avez besoin dans le moment présent pour grandir, progresser, et remplir la coupe de votre joie.
Bénir signifie Harmoniser ce que vous bénissez avec les vibrations d’Amour inconditionnel, vous lâchez prise et vous lui confiez l’objet de votre bénédiction.
Voici notre seizième porte. Aujourd’hui : la douceur
En ce temps de l’Avent, la douceur qui est un de mélange de gentillesse, de calme et de tendresse et cette peinture de la Vierge de Marie nous la dépeint parfaitement :
La douceur est aussi l’autre nom des sucreries et friandises qui sont une merveille lors des fêtes de Noël.
Essayez celles-ci un peu différentes et rapides à préparer … mais à faire une semaine à l’avance pour en retirer le plus de plaisir, lorsque tous les ingrédients se seront bien mêlés. Il vous faut aussi prévoir une cinquantaine de petites caissettes pour les y loger (attention, elles partent très vite !) et une boite pour les conserver.
Ingrédients
Préparation
Casser le chocolat en petits morceaux et le faire fondre.
Lorsqu’il est bien lisse, rajouter le sucre et le miel et remuer.
Emietter les gaufrettes.
Lorsque votre mélange est bien homogène, ajouter le rhum et les gaufrettes.
Bien mélanger à nouveau.
Séparer votre pâte en deux et dans une moitié ajouter 80 g de noix.
Laisser une petite demi-heure au réfrigérateur pour que la pâte durcisse et puisse être travaillée.
Lorsque les deux pâtes sont suffisamment dures, former des petites boules.
Rouler les boules sans noix dans 40 g de sucre glace et mettre en caissettes.
Pour la pâte aux noix, former également des boules que vous roulez dans un mélange de 40 g de sucre glace et de 35 g de noix finement écrasées, puis mettre en caissettes.
Excellent dégustation pleine de douceur en advertance !
Voici notre dixième jour. Aujourd’hui : l’harmonie
Une seule harmonie ? plusieurs définitions trouvées sur Larousse.fr
En cette période de l’Avent, nous choisissons ses synonymes : paix, concorde, union.
Mais comment faire pour rétablir l’harmonie ? déjà l’aimer et la désirer et l’introduire en nous.
Bonne harmonie en advertance !