Deuxième stratégie : Créer des problèmes, puis offrir des solutions
Cette méthode est aussi appelée « problème-réaction-solution ». On crée d’abord un problème, une « situation » prévue pour susciter une certaine réaction du public, afin que celui-ci soit lui-même demandeur des mesures qu’on souhaite lui faire accepter. Par exemple : laisser se développerla violence urbaine, ou organiser des attentats sanglants, afin que le public soit demandeur de lois sécuritaires au détriment de la liberté. Ou encore : créer une crise économique pour faire accepter comme un mal nécessaire le recul des droits sociaux et le démantèlement des services publics.
Au vu du terrorisme planétaire, nous sommes reconnaissants à toutes techniques nous permettant d’y échapper … et la réclamons, alors qu’elles sont toujours plus contraignantes et plus insidieuses pour surveiller nos déplacements.
Qui a envie de subir l’horreur d’un attentat ? personne. Alors, nous subissons
– des fouilles corporelles
– des formalités « d’accueil »
Pour nous inciter à sortir de notre mare tiède, relire sans modération Le Meilleur des Mondes d’Aldous Huxley :
Désirer sa servitude, n’est-ce pas le comble de l’inadvertance ?
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