David, vous venez de nous quitter aujourd’hui 24 juillet 2011.
Merci, pour vos livres et votre détermination.
Comme vous le disiez si justement il n’y a pas de remède miracle, il y a des prises de conscience à avoir.
Vous nous avez dit Au Revoir dans ce très beau livre On peut se dire au revoir plusieurs fois
et dans cet article de Psychologies Magazine, auquel vous contribuiez.
Je retiendrai que vous avez puisé votre force dans l’intégration de cette évidence que la mort finit inéluctablement une vie et qu’intégrer cette notion a des répercussions énormes sur la façon de vivre sa vie, au jour le jour.
…
Après tout, la trajectoire de la vie mène à la mort, et j’aime penser, comme beaucoup de philosophes, que la vie est une longue préparation à cet instant. Quand on a renoncé à se battre contre la maladie, il reste encore un combat à mener, celui pour réussir sa mort : bien dire au revoir, pardonner, être pardonné.
Tout est dit !
L’advertance jusqu’au bout !